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La Demoiselle à coeur ouvert

La Demoiselle à cœur ouvert

Lise Charles

P.O.L. , 2020

 

Quatrième de couverture : "Nous aurions préféré ne pas avoir à publier cette correspondance. Nous avons jugé que c'était notre devoir." L.C.

La présentation proposée par ma médiathèque en disait beaucoup plus, trop peut-être, en tout cas impossible de résister.

Bien m'en a pris, je sors de cette lecture épatée, tourneboulée, effarée, je vais voir si les autres romans de l'auteur sont disponibles en médiathèque (non, hélas).

Correspondance par mails, avec pièces attachées parfois : une nouvelle d'Octave Milton, auteur nouveau pensionnaire à la villa Medicis (comme Lisa Charles en 2017-2018), un article sur le discours rapporté, par Marianne Lenoir, maîtresse de conférences à l'Université de Nantes (comme Lisa Charles), Marianne Lenoir étant le pseudo de Lisa Charles pour des romans jeunesse, et un journal d'adolescente (Louise, fille de Marianne... mais finalement, qu'en est-il?). Apparaissent divers correspondants, y compris Paul Otchakovsky-Laurens, l'éditeur décédé accidentellement j'allais dire au cours du roman, Livia Colangeli, une ex d'Octave (initiales LC aussi). Les artistes séjournant à la villa Medicis sont croqués sans pitié. Même Octave Milton, censé écrire une biographie de Borromini, n'est guère actif.

Cela paraît compliqué, mais c'est fluide et jubilatoire, on sombre dans un 'jeu de miroirs', des 'mises en abyme', les Liaisons dangereuses sont convoquées par certains lecteurs. 

Avis babelio

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